Continuons à danser…

Article musical à déguster en prenant le temps, si c’est possible, d’aller au bout de chacune des propositions à visionner. Un peu plus long que d’habitude, mais franchement, tout est bon à prendre… 

Dimanche 2 mai, une initiative culturelle sous forme de flashmob – de l’anglais « foule éclair », c’est le rassemblement d’un groupe de personnes dans un lieu public pour y effectuer des actions convenues d’avance, avant de se disperser rapidement –, réunissant plus de 60 personnes – villageois et habitués du marché – s’est déroulée sur le parvis de l’église de Durfort. Musique, danse, poésie, entremêlées pour le plus grand bonheur de tous, participants ou simples spectateurs, ont permis partage, échange et communion . 

Et cela a donné ÇA:

Les participants à ce flashmob se contentaient de faire écho à un vaste mouvement devenu viral sur tous les continents. En témoigne cette recension de quelques-uns des flashmob réalisés par ci par là…

Énormément de médias se sont faits l’écho de ce mouvement: France Inter , Mediapart (le PDF ici, l’accès direct à leur site ici), France 3 Régions , Le Parisien , Libération , et tant d’autres … Il serait fastidieux d’énumérer ici toutes les évocations de ce happening qui apporte avant tout un peu de joie et de bonne humeur à celles et ceux qui y participent.

Même les soignants se sont emparés de ce cantique:
Ils ont transformé le « Danser encore » en « Soigner encore »: une façon bien à eux d’exprimer l’urgence et l’actualité de leurs propres revendications, revendications auxquelles nous devrions, selon moi, nous intéresser d’un peu plus près si nous souhaitons, à l’avenir, mieux nous tirer du mauvais pas d’une nouvelle épidémie, ou d’une « simple » nouvelle vague du Covid… 

Mais d’où vient cette chanson?
Laissons son auteur, HK, nous l’expliquer, au micro de « L’heure des Crocs » sur C-Bouse:

Bref… Un petit « happening » pas bien méchant, plutôt bon enfant, dans la joie et la bonne humeur qui a quand même été, soulignons-le, l’occasion d’un grand moment de partage et de communion entre tous les participant(e)s . À la fin, tout ce petit monde était censé se séparer tranquillement, laissant derrière lui une atmosphère presque irréelle, comme si rien ne s’était vraiment passé. Avait-on rêvé, ou tout cela avait-il eu bien lieu?

Oui mais voilà… Nous sommes à Durfort, là ou tout est Dur et tout est Fort… Et rien ne s’est passé comme cela était prévu lorsque le moment de nous séparer arriva.

Qu’arriva-t-il donc ? 

Pour le savoir, ami(e) lecteur/trice, il te faudra patienter jusqu’au prochain épisode…

À SUIVRE!